Prose à la Comte
Toute la puissance de l'argumentation séparatiste ressort de cette nouvelle prose à la Comte. L'ancien maître d'école de Vellerat et vétéran des plébiscites est retourné derrière son pupitre, le temps de porter l'estocade au conseiller national Manfred Bühler: l'ignorant aurait mal orthographié le nom du séditieux catalan invité au dernier raout séparo. Rappelons au distingué lettré que les noms propres n'ont pas d'orthographe et que "Comter" deux fautes pour une inversion de lettres relève de la mesquinerie plus que de la rigueur.C'est vraiment un comportement de petit Comte.
Pour illustrer ce que Un Comte à rebours ? entend par discours "sans haine, ni oubli", voici:
Bühler joue les vengeurs (dé)masqués pour son propre compte électoral et ses complices lui emboîtent le « pas de l’oie ». Atteints du syndrome du hamster, empiffrés de haine, ils pédalent frénétiquement dans leur petite roue pour tenter de contenir l’angoisse qui les asphyxie. PAC (sic)
Cette prose ahurissante est de ce "bon" Comte. Elle est extraite d'un édito du Jura Libre.
1 janvier 1970